ON LE CROYAIT PERDU MAIS… Un rat à bord 😱Voilier condamné sur le récif ou déséchoué ? Incroyable !!
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✍️Les images satellites sur l’application Zoom Earth sont on ne peut plus claires, Tchoupi est en plein cœur de la masse nuageuse. Et comme si cela ne suffisait pas à pimenter ses journées, voilà qu’il vient de découvrir avec horreur qu’un rongeur s’est subrepticement introduit à bord de Black Lion ! Il m’a appelé en panique total à 6 heures du matin pour me mettre au parfum. Mais d’où diable peut-il bien surgir ? Un rat des mers ? Impossible, notre mouillage est bien trop éloigné de la terre ferme pour qu’un tel acrobate puisse faire le grand saut. C’est un vrai mystère ! Une énigme maritime digne des meilleurs romans d’aventure ! En y réfléchissant bien, ce vil nuisible s’est certainement faufilé dans notre annexe lorsque nous l’avons stationné à la marina pour que je puisse me rendre à l’aéroport. Mais ce roublard ne savait visiblement pas dans quelle galère il s’est embarqué ! La bataille s’annonce épique ! Qui l’aurait cru, un lion et un rat en compétition ! Le duel va être rude, le plan est diabolique ! Mort légiste : 20 heures : 30.
Immobilisé sur la barrière récifale, nous aurions pu croire son destin scellé, mais c’était sans nous douter de l’efficacité de ses sauveteurs ! Le voilier échoué vient d’être libéré ! Quelle émotion, quel soulagement pour les naufragés. Mon cinéaste a tout filmé. Tous les moyens ont été mis en œuvre pour sauver ce bateau ! La délivrance n’a pas été sans peine. Le ballet des câbles dans les vagues et des hommes a été magistralement orchestré. Le nombre de bateaux capturés par les eaux Polynésiennes est effrayant ! Comme de partout, les causes peuvent être multiples : erreurs de navigation, conditions météorologiques défavorables, défaillances techniques, erreurs humaines, mauvaises connaissances des eaux navigables. Tout ceci nous rappel que nous ne devons jamais baisser notre vigilance, en demeurant toujours prudents face à la puissance incommensurable des éléments.
Le motu Ceran est reconnu pour sa population de Carcharhinus melanopterus, plus communément appelés, pointes noires. Facilement identifiables par les pointes noires de leurs nageoires, en particulier sur leur dorsale et leur caudale, ils font partie des requins les plus abondants des récifs coralliens tropicaux du Pacifique.
Pensez bien que l’opportunité était trop tentante pour mon espiègle mari d’user de cette occasion pour me faire une petite frayeur. Ce maraud, en m’envoyant de superbes photos d’eux, a suggéré de sa témérité lors d’une baignade nocturne, seul, en leur compagnie !
